Un commentaire sur la génération féminine des années 2000. Voici ce que j'écrivais il y a quelques jours : 

Elle n'a pas loin de trente ans, très douce, elle veut un enfant, elle n'a pas besoin de le dire. (radicalisation des extrêmes dans le jeune paysage féminin des années 2000 : violence, drogue, rock'n'roll d'un côté et twingo, get 27, bébé de l'autre, au milieu, le vide sidéral.)

Je lis donc ce commentaire : "En dehors de ton "milieu",le vide est moins sidéral!" Personne n'aime être décrit. Mais il faut bien que quelqu'un dise ce que je dis, c'est une constatation qui est valable pour l'ensemble de la société. Je décris simplement ce que je vois, c'est sûr que l'alcool , les drogues, la nuit parfois éxagèrent les faits , les actes. Pourtant je ne voulais pas dire que j'étais décu en constatant ce que voulait cette jeune fille je me plains encore moins.
Dans sa twingo verte au petit matin, c'est super évident, je lui dis que j'habite à Nation et elle me raccompagne en me disant tous les 500 mètres "Je vais où?", dans les textos qu'elle envoie dans la semaine suivante et auquel je réponds partiellement elle parle de sentiments alors que je lui répète que je suis du côté de Dionysos. Quand elle laisse un message sur mon portable elle finit en disant "Si le coeur t'en dit".